Le prêt-à-manger: une tendance alimentaire en hausse

Par Sani Marc|2018-04-10

Dans notre monde actuel, où la vie se déroule à un rythme effréné, les gens ont (prennent) de moins en moins le temps pour cuisiner. Professionnels, étudiants, jeunes familles, tout le monde a une vie mouvementée qui ne laisse que très peu de place à l’horaire pour la préparation des repas.

Cuisiner devient donc davantage un passe-temps et les repas préparés à la maison se transforment pour plusieurs en événements sociaux et spéciaux. On remarque d’ailleurs que les ventes d’ingrédients de base (farine, sucre, épices, sauces, etc.) sont en diminution, alors qu’à l’inverse, les mets prêts à manger ou prêts à cuisiner gagnent en popularité. En effet, au Canada les aliments entrant dans la composition de recettes maison ont subi une baisse de popularité de 65 % depuis les années 1940 alors que la consommation d’aliments transformés/prêts à manger a connu une hausse de 136 %!

Dans les années 1940, cuisiner un repas de A à Z était très courant et en moyenne, la préparation d’un repas pour une famille prenait 150 minutes. De nos jours, un repas « cuisiné » se prépare en une trentaine de minutes et dans la majorité des cas, au moins deux plats différents sont servis. Pour y parvenir, les méthodes et le résultat final n’ont pas le choix d’avoir évolué.

Même si pour certains la cuisine au quotidien consiste à réchauffer des mets prêts à manger ou encore à assembler différentes composantes préparées, les consommateurs sont de plus en plus exigeants.

Et prêt-à-manger ne rime plus nécessairement avec malbouffe.

Dans notre monde actuel, où la vie se déroule à un rythme effréné, les gens ont (prennent) de moins en moins le temps pour cuisiner. Professionnels, étudiants, jeunes familles, tout le monde a une vie mouvementée qui ne laisse que très peu de place à l’horaire pour la préparation des repas.

Cuisiner devient donc davantage un passe-temps et les repas préparés à la maison se transforment pour plusieurs en événements sociaux et spéciaux. On remarque d’ailleurs que les ventes d’ingrédients de base (farine, sucre, épices, sauces, etc.) sont en diminution, alors qu’à l’inverse, les mets prêts à manger ou prêts à cuisiner gagnent en popularité. En effet, au Canada les aliments entrant dans la composition de recettes maison ont subi une baisse de popularité de 65 % depuis les années 1940 alors que la consommation d’aliments transformés/prêts à manger a connu une hausse de 136 %!

Dans les années 1940, cuisiner un repas de A à Z était très courant et en moyenne, la préparation d’un repas pour une famille prenait 150 minutes. De nos jours, un repas « cuisiné » se prépare en une trentaine de minutes et dans la majorité des cas, au moins deux plats différents sont servis. Pour y parvenir, les méthodes et le résultat final n’ont pas le choix d’avoir évolué.

Même si pour certains la cuisine au quotidien consiste à réchauffer des mets prêts à manger ou encore à assembler différentes composantes préparées, les consommateurs sont de plus en plus exigeants.

Et prêt-à-manger ne rime plus nécessairement avec malbouffe.

Facteurs qui influencent le marché

  • Rythme de vie effréné/urbanisation rapide
  • Hausse du nombre de femmes sur le marché du travail
  • Style de vie des consommateurs/mode/ tendances
  • Volonté de mieux manger/virage plus santé des consommateurs (moins de fast food)

Bref, les options sont de plus en plus nombreuses et peuvent être déroutantes quand vient le temps de faire un choix pour s’alimenter. Quelles habitudes adoptez-vous dans la cuisine? Êtes-vous du type traditionnel qui concocte tous les repas à partir d’ingrédients de base ou avez-vous plutôt emboîté le pas au mouvement des mets prêts à manger et des boîtes prêtes à cuisiner?

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